L’attaque lui avait brûlé le visage et la cornée des yeux. Depuis, la cruauté qui règne sous les dorures restaurées du célèbre théâtre russe n’est plus à prouver. Pour le directeur artistique de la plus grande troupe de ballet au monde, le mobile de l’acte criminel subi ne laisse pas de doute. Selon Sergueï Filine, le commanditaire de l’agression « voulait promouvoir ses ambitions ou faire taire la douleur d’une vexation ».
« Je vous promets... »