Dans une allusion à une tirade de l'actuel président socialiste François Hollande, lorsque ce dernier était candidat à l'Elysée en 2012, contre la finance, un « ennemi » sans « nom » ni « visage », Benoît Hamon a aussi dénoncé le trop-plein de candidats du « parti de l'argent », en visant notamment Emmanuel Macron.

