Paul-Simon Handy, directeur de la recherche à l'Institut d'études et de sécurité de Pretoria
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« Il y a une vraie émotion. Je dirais même un vrai traumatisme qui s’est emparé de la société sud-africaine, suite à la mort de ces treize soldats. Il faut rappeler que depuis la bataille de l’Angola au temps de l’apartheid, l’armée sud-africaine n’avait jamais perdu autant de soldats. »
Michel Djotodia va-t-il être reconnu comme le nouveau président de la Centrafrique ? C’est le principal enjeu du sommet extraordinaire de la CEEAC (Communauté économique des Etats de l'Afrique centrale), qui se tient aujourd’hui à Ndjamena. A priori, le nouvel homme fort de Bangui ne devrait pas y participer. En revanche, son principal adversaire, le Sud-Africain Jacob Zuma, sera là. Pourquoi l’Afrique du Sud a-t-elle envoyé des soldats à Bangui ? Quel rôle peut-elle jouer aujourd’hui ?
Paul-Simon Handy est directeur de la recherche à l’Institut d’études et de sécurité de Pretoria. En ligne d’Afrique du Sud, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier.
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