Deuxième partie de la session live avec Anouk Aïta et la chronique de Vincianne Haudebourg.
Anouk Aïata, tragédienne naïve à la manière d’une Dalida ou d’une Barbara se balance sur la corde sensible de la chanson française. De sa voix suave et profonde, avec son frère de plume Amos Mâh, qui tient le violoncelle dans la formation qui l’accompagne, elle répand des chansons qui nous emmènent au bord du rêve, dans un univers peuplé par les éléments, les astres et les émotions, là où la fête n’est jamais loin de la nostalgie.
Elle vient nous présenter son album « La femme mangeuse des nuages du ciel » en live dans notre grand studio.
Dans sa chronique, Vincianne Haudebourg nous présente cette semaine la chanteuse coréenne Yun Sun Nah.
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