2. Akalé Wubé
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Deuxième partie de la session live avec Akalé Wubé.
Akalé Wubé, c'est l'histoire improbable liant des jeunes Parisiens à des musiciens éthiopiens des seventies. Comme d'autres musiciens occidentaux, le saxophoniste et flûtiste Etienne de la Sayette tombe sur la collection « Ethiopiques », conçue par Francis Falceto, où sont rassemblés certains trésors de la musique enregistrés à Addis Abeba dans les années 1970, le fameux « Swingin' Addis ». Il décide de revisiter ce riche patrimoine et c'est ainsi que se crée Akalé Wubé, qui signifie « Quelle jolie fille » en amharique. Cette métaphore poétique, empruntée à l'un des thèmes du saxophoniste Getatchew Mekurya, fait référence à la « beauté de l'âme ».
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