Jours d’émeutes à Mohéli
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Les accords qui ont permis de ramener un semblant de calme dans l’Archipel, en 2001, prévoyaient une rotation à la magistrature suprême. La Grande Comores a eu son tour, et Anjouan le sien. Mohéli ne se résigne pas à l’idée de devoir renoncer, même temporairement, à son tour de donner un président à cette République islamique.
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