Depuis juillet dernier, la Tunisie traverse une crise politique où les diverses institutions se retrouvent écartées du pouvoir par le président de la République, Kaïs Saïed. De son côté, la justice n’hésite plus à convoquer des personnalités en vue, y compris certaines d’entre elles s’étant opposées au pouvoir d’avant-2011. Quelles raisons ont poussé le président à prendre ces décisions radicales ? Était-ce prévisible ? Cela hypothèque-t-il l’avenir d’une Tunisie démocratique ?
Eléments de réponse avec le politologue Mohamed Kerrou, joint au téléphone à Tunis.
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