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«Siguifin» : un spectacle signé de quatre chorégraphes du continent africain

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À Marrakech, la Biennale de la danse en Afrique poursuit son cours cette semaine. Parmi les pièces phare au programme, Siguifin - qui signifie « monstre magique » en bambara - réunit quatre chorégraphes. Ils viennent du Sénégal, du Mali et du Burkina Faso et ont dirigé neuf danseurs venus de ces trois pays. Une belle aventure artistique panafricaine.

« Siguifin » présenté en avant- première à la Biennale de la danse en Afrique à Marrakech sera à l’affiche du Théâtre de Suresnes en France en janvier.
« Siguifin » présenté en avant- première à la Biennale de la danse en Afrique à Marrakech sera à l’affiche du Théâtre de Suresnes en France en janvier. © Jérome William Bationo
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Le spectacle d'une heure est dirigé par le chorégraphe Amala Dianor qui a fait appel à trois autres chorégraphes. Alioune Diagne du Mali, Ladji Koné du Burkina Faso et Naomi Fall du Sénégal. Le but ? Célébrer la vitalité d’une danse africaine hybride, décloisonnée, en perpétuelle évolution, à l’image du bouillonnement artistique qui anime tout le continent.

 À lire aussi : La Biennale de la danse en Afrique s’est ouverte à Marrakech

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