Jean-David Morvan et Tristan Fillaire racontent en bande dessinée la vie du grand photo-reporter américain Stanley Greene.

Indiscutablement, Stanley Greene était l’un des grands photoreporters des années 90 et du début du XXème siècle. Il est pourtant peu connu du grand public, même s’il a remporté cinq fois le prestigieux Prix World Press, et cofondé l’agence Noor.
Un personnage à part qui a tutoyé la mort et brûlé sa vie par tous les bouts. Un homme de rage et de courage, un homme à femmes aussi. Un superbe personnage de roman ou de bande dessinée avec son béret ou son bonnet noir qu’il aura promené en Tchétchénie, en Mauritanie, au Soudan, à Moscou, au Rwanda, en Afghanistan, au Liban, en Irak, ou dans la Nouvelle-Orléans après l’ouragan Katrina, sans oublier le Berlin de la chute du Mur.
À chaque fois, Stanley Grreene était là, avec son appareil photo pour témoigner des soubresauts du monde, souvent de la guerre et de ses horreurs. Une trajectoire hors normes et singulièrement romanesque, celle d’un homme libre que nous racontent le scénariste Jean-David Morvan et le dessinateur Tristan Fillaire. « Stanley Greene, une vie à vif » est paru chez Delcourt.
Chronique Déconficulture : Fanny Bleichner nous invite à une séance de cinéma particulière à Caen, en Normandie. Le cinéma « Le Lux » propose des séances en drive-in, depuis votre voiture. L'occasion de tester cette tendance tout droit venue des États-Unis, garantie sans risque sanitaire.
NewsletterRecevez toute l'actualité internationale directement dans votre boite mail
Je m'abonne