À Dakar, tous les 18/35 ans (ou presque) y viennent : le tatouage est devenu extrêmement populaire dans la capitale sénégalaise et on le pratique sur toutes les parties du corps, même les plus intimes. On se fait tatouer le nom de son conjoint, le nom d’un artiste adoré ou des dessins de toutes sortes. Mais cette mode héritée de pratiques ancestrales mériterait d’être davantage règlementée. Les conditions sanitaires dans lesquelles opèrent la plupart des tatoueurs laissent souvent à désirer. Aminata Thior, fondatrice de Setalmaa.com est avec nous ce matin dans La Vie Ici.
