Ikambere, la maison des migrantes séropositives en banlieue parisienne
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En cette journée internationale de la femme, à Ikambere, au coeur de Saint-Denis en région parisienne, les femmes migrantes atteintes du sida trouvent un refuge. Créée il y a vingt-deux par la Rwandaise Bernadette Rwegera, l'association « Ikambere » parie sur le courage et la volonté de ces femmes atteintes d'une maladie qui les isole.

« Ikambere » aide ces femmes confrontées aux aspects les plus durs de l'exil à se redresser. Un livre éponyme récemment paru aux Editions de l'Atelier raconte comment, ensemble, ces femmes se relèvent et reprennent goût à la vie. Intitulé « Ikambere, la maison qui relève les femmes », l'ouvrage s'appuie sur la parole de ces femmes et sur celle des personnes qui travaillent dans l'association pour présenter les clés de leur succès. Les explications de l'auteure Annabel Desgrées du Loû, chercheure à l'IRD, l'Institut de recherche pour le développement.
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