Dès le début de la crise du Covid-19, les quelque 600 000 Chinois de France se sont retrouvés en ligne de front. Début février, alors que la France ne comptait que très peu de cas confirmés, les membres de la diaspora se faisaient insulter sur les réseaux sociaux. Boudés par les clients, de nombreux restaurants tournaient au ralenti avant même le confinement généralisé. Petit à petit, le quartier de Belleville dans le nord-est de Paris est devenue une ville fantôme. Qu’en est-il aujourd’hui ?
