80 ans après le Débarquement des alliés en Normandie, le 6 juin 1944, ce D-Day qui allait permettre la victoire sur les Nazis, c’est l’heure des hommages pour les derniers survivants, des vétérans pour certains plus que centenaires. 150 000 hommes ont débarqué, Américains, Canadiens et Britanniques. Et une femme, la journaliste américaine Martha Gellhorn. À l’arrière, c’était autre chose.
À l'arrière, les femmes ont joué un rôle crucial
Avant les années 2000, elles n’étaient pas autorisées à combattre dans l’armée britannique. Mais pour le Jour J, elles ont travaillé sur le renseignement, les écoutes, la logistique. C’est le reportage de notre correspondante à Londres, Marie Billon.
1984, 2014, 2024, trois célébrations du D-Day, trois significations
Le 6 juin, une date emblématique, un marqueur comme on dit dans l’Histoire de France. Ce récit national et international est placé aujourd’hui sous le signe de la présence du président ukrainien Volodymyr Zelensky et de l’absence du président russe Vladimir Poutine. On retrouve l’historien du fait guerrier Stéphane Audoin-Rouzeau, directeur d’étude à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales. Que disent ces célébrations sur l’état du monde ?
Un rival d'Orban en campagne en Hongrie
Et ces célébrations du D-Day interviennent tout juste quelques jours avant les élections européennes. On annonce déjà une vague brune pour ce scrutin, avec la montée en puissance des partis populistes et d’extrême droite. En Hongrie, c’est une surprise d’une toute autre nature qui s’invite dans la campagne. Le parti nationaliste du Premier ministre Viktor Orban est défié par un ancien cadre du Fidesz Peter Magyar. Il promet d’en finir avec la corruption et d’apporter plus de démocratie. Les sondages lui accordent 20 à 25% d’intention de vote. Anastasia Becchio l’a suivi en campagne sur les rives du lac Balaton.
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