Alors on dit quoi

Mutilations génitales féminines, la lutte se poursuit

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La Journée internationale de tolérance zéro à l'égard des mutilations génitales féminines, est célébrée, chaque année, le 6 février. Les MGF font des ravages sur l’ensemble des continents et dans une multitude de pays. 200 millions, c’est le nombre de jeunes filles et de femmes toujours vivantes qui en ont été victimes, selon l’Organisation Mondiale de la Santé, OMS. L'excision, que l’on associe le plus souvent aux MGF, reste très dangereuse pour la santé des filles. Aujourd’hui, on déplore 6 filles excisées chaque minute dans le monde.

Ramata Kapo, présidente de l’association «Excision parlons-en» aux côtés de Diara Ndiaye, en studio à RFI, pour l'émission Alors on dit quoi.
Ramata Kapo, présidente de l’association «Excision parlons-en» aux côtés de Diara Ndiaye, en studio à RFI, pour l'émission Alors on dit quoi. © Beverly Santu/RFI
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L’OMS distingue 4 types de mutilations sexuelles: quelles sont-elles ? Quelles conséquences psychologiques et physiques ? Comment lutter contre les mutilations sexuelles féminines qui sont une violation des droits des jeunes filles et des femmes ?

 

Invitées :

Ramata Kapo, présidente de l’association «Excision parlons-en».

(Téléphone fil rouge) :

- Maïmouna Coulibaly, auteure de l’ouvrage «Je me relève»

- Aminata Traoré, militante des droits de l’homme et auteure d’Ouvrages pour sensibiliser aux mutilations génitales féminines. 

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