C'est pas du vent

African Parks : protéger quoi qu'il en coûte ...

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En 2015, les pays membres de la Convention des Nations unies sur la diversité biologique, soit presque tous les pays de la planète se sont fixé un objectif commun : protéger 30% des zones terrestres et marines de la planète d’ici à 2030. C’est évidemment une bonne idée à l’heure où la biodiversité s’effondre à une vitesse vertigineuse.

Le Parc national de Liwonde (Malawi).
Le Parc national de Liwonde (Malawi). AFRICA PARKS / KENSINGTON PALACE/AFP/File
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La question est comment y parvenir ? Sur le continent africain notamment qui abrite un quart des espèces de mammifères, un cinquième des oiseaux et un sixième des végétaux de la planète ? Et bien dans ce domaine une ONG se taille, si je puis dire, la part du lion. African Parks administre 22 parcs dans douze pays africains sur un espace de 20 millions d’hectares. Et ses dirigeants ne comptent pas s’arrêter là… Il est donc intéressant de s’interroger sur leurs méthodes, leurs résultats, leurs financements…

Avec le journaliste Olivier van Beemen pour son ouvrage Au Nom de la nature, enquête sur les pratiques néocolonialistes de l’ONG African Parks paru aux Éditions de l’Échiquier.

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