Le gouvernement iranien annonce une participation de 41% aux législatives. L’annonce a été faite ce lundi 4 mars 2024, trois jours après le scrutin, le premier après le vaste mouvement de contestation de 2022, suite à la mort de la jeune Mahsa Amini. L’abstention a battu un nouveau record : l’opposition appelait au boycott et a dénoncé un « simulacre » d’élection car de nombreux candidats modérés ou réformateurs avaient été disqualifiés.

Après ces élections, quel avenir pour ce mouvement Femme, vie, liberté ? Quelles sont les leçons à tirer de ce scrutin et surtout de cette abstention record pour les conservateurs ? Éléments de réponse avec Thierry Coville, chercheur à l’IRIS, spécialiste de l’Iran.
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