Son ordinaire est fait de noir, d’ocre, de bleu et de rouge. Avec une frontière entre l’abstraction et le figuratif qu’il franchit allègrement, même lorsqu’une fleur de lotus taquine son pinceau.

L’allégresse elle, n’était peut-être pas au rendez-vous le jour où cet artiste peintre a pris ses pinceaux, salué la muraille de Chine (ou pas) et présenté ses hommages à la rue Bonaparte, du côté de Paname. Le prétexte tout trouvé étant, après l’École des Beaux-arts de Pékin, l’École nationale des Beaux-arts de Paris. Bon, le coup des salutations et de la révérence ce n’est pas de moi, ce qui parle en fait c’est le lyrisme de mon invité Chen Jiang-Hong, que je reçois avec gravité, autant que son extraordinaire Mao et moi : le petit garde rouge qu’il publie en grand format pour la jeunesse à l’École des loisirs.
L'adaptation théâtrale du Petit Garde Rouge, sera présentée à la MC93 de Bobigny du 10 mars au 19 mars
Les choix musicaux de Chen Jiang Hong :
Sam Cooke - A change is gonna come
Franz Schubert - Winterreise (Voyage d’hiver) n°5
Yodelice - Talk to me
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