Le drame de la vie, c'est peut-être de parler. Mais, je vous parle d'un drame qui accapare un pays mental appartenant à Valère Novarina. (Rediffusion du 13 mars 2017).

C'est drôle comme le langage déclenche des avalanches ou des cui-cui. Quand j'entends ce nom de Valère Novarina, tout de suite j'ai l'image d'un visage géant armé d'une bouche énorme posée sur une toute petite botte de sept lieues. Il faut dire que le théâtre de Novarina, metteur en scène et peintre franco-suisse, est peuplé de mots sur pattes. Depuis Le discours aux animaux, jusqu'au Vivier des noms en passant par La chair de l'homme cet architecte du langage bâtit, je ne sais pas quoi... une cathédrale ? Un cabanon ? Ou une toile d'araignée...
Les choix musicaux de Valère Novarina
Lilian Nordica La mort d’Isolde
Damia Ne dis rien
Ignaz Friedmann, piano Mazurka de Chopin.
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