Elle écrit des portraits, des enquêtes, des essais politiques, bref c’est une journaliste politique, mais pas que. Il se trouve que Vanessa Schneider, grand reporter au journal Le Monde, est une Française née au cœur des mondes, merci pour toute la famille.

Pour En Sol Majeur et en trois livres parus en poche (Tâche de ne pas devenir folle, La mère de ma mère & Tu t’appelais Maria Schneider), je mesure la nécessité pour Vanessa Schneider de coucher sur le papier Marthe, Hélène, Constantin, Clara, des prénoms fragiles et précieux comme de la porcelaine, brinquebalés dans la grande Histoire et qui produiront une tribu cabossée (je la cite). Au menu de cette conversation pleine d’origines silencieuses, la Roumanie, Haïti chérie, les hippies des années papa, une petite icône transmise de mère en fille et la figure de Georges Kiejman (L’homme qui voulait être aimé qui paraît en poche aussi et qui fait partie de la famille élargie).
Les choix musicaux de Vanessa Schneider
La Callas Puccini O mio babbino caro
Josephine Baker Si j’étais blanche
Bob Marley Get up, stand up
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