En sol majeur

De l’Italie au tableau familial avec Gabriella Zalapì

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Et si le récit familial ne parlait que de notre monde ? Et si nos histoires singulières n’étaient que le miroir déformant de notre famille humaine ? Évidemment pour que ce miroir miroir nous parle, il faut le sens aigu d’une observatrice telle que Gabriella Zalapì.

Gabriella Zalapi.
Gabriella Zalapi. © Zoé, Roman Lusser
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De livre en livre, cette plasticienne d’origines anglaise et italienne livre des paysages intérieurs faits de prénoms Wilibald, Antonia, Ilaria. Des prénoms et des mots-clé : enfance, désobéissance, oppression avec à l’arrivée un héritage familial aussi lourd symboliquement que peut l’être un tableau représentant le Sacrifice d’Abraham. Diplômée de la Haute école d’art et de design à Genève, la Zalapì s’aventure régulièrement dans la cave familiale pour en ramener des archives personnelles qui finiront en photographies de l’âme. Éditées aux éditions Zoé. Et en pleine semaine de la francophonie.

 

Programmation musicale :

Anibal Troilo Nocturno a mi barrio

J.S. Bach Rédemption interprété par Anna Prohaska Mache dich, mein Geist, bereit. BWV 115 Bete aber auch dabe

Art Blakey Are you real ?

 

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