Cet été nous rediffusons les Fréquence Asie les plus marquantes de l’année écoulée. En mars dernier, nous revenions sur la catastrophe de Fukushima, dix ans après ce drame que les Japonais n’ont pas oublié.

Le 11 mars 2011, un tremblement de terre suivi d’un tsunami ravageait les côtes de l’île de Honshu et provoquait l’explosion de trois réacteurs de la centrale nucléaire de Fukushima.
Un désastre qui se prolonge jusqu’à nos jours, et que même les Jeux olympiques ne pourront pas effacer de la mémoire des Japonais. Si le gouvernement veut enfin tourner la page, les victimes, elles, sont réticentes à retourner vivre à Fukushima. À peine un tiers des 160 000 habitants évacués à l’époque ont fait ce choix.
Cécile Asanuma-Brice, auteure du livre Fukushima, 10 ans après (Éditions de la Maison des Sciences de l’Homme) nous explique pourquoi. Elle est interrogée par Heike Schmidt.
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