Layle, une jeune Afghane qui voulait allier liberté et tradition
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En février dernier, les universités afghanes ont rouvert en présence des étudiantes, mais les talibans dénient à nouveau le droit à l’éducation aux jeunes filles afghanes. La femme qui s’est éveillée est un récit poignant. L’auteure, Solène Chalvon-Fioritti, raconte son arrivée en 2011 en Afghanistan en tant que jeune journaliste et son amitié avec une étudiante afghane, Layle.

Le destin tragique de cette jeune Afghane, qui avait créé un réseau clandestin qui distribuait des pilules abortives et contraceptives dans les universités afghanes, touche et hante le lecteur. Un récit rare, celui d’un combat féministe, inscrit dans une quête de liberté gravée dans la tradition.
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