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Loi anti «fast fashion»: «40 vêtements neufs par an et par personne en France, ce n’est pas soutenable»

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Exit l'ultra « fast fashion » !  Les géants chinois de la mode éphémère sont désormais dans le viseur du Sénat. Notamment les entreprises Temu et Shein, qui inondent le marché français et européen de vêtements expédiés à prix cassés depuis la Chine, au mépris de toutes règles environnementales, et qui devraient être bientôt soumises à plus de régulation. Un frein à l’essor de ces géants chinois qui va « dans le bon sens », estime Flore Berlingen, la coordinatrice de l’association En Mode Climat. Elle est également co-fondatrice de l’observatoire du principe « pollueur payeur » pour qui la future loi anti « fast fashion » française va permettre de s’attaquer tout à la fois « à la surproduction » et à la « surconsommation » désastreuse sur le plan écologique dans l’industrie textile.   

Des pages du site Web de Shein, à gauche, et du site de Temu, à droite. (Image d'illustration)
Des pages du site Web de Shein, à gauche, et du site de Temu, à droite. (Image d'illustration) AP - Richard Drew
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