En octobre 1849, Gustave Flaubert entame un voyage en Orient, qui le fascine. Son long périple en Égypte lui fera découvrir non seulement les temples emblématiques comme Karnak ou Abu Simbel mais aussi les crocodiles, les momies et les dames de petite vertu. Il écrira sur le Nil, qu’il descendra en conque, et alternera mélancolie et enthousiasme, comme le souligne Jean-Baptiste Chantoiseau, directeur des musées littéraires de Rouen, commissaire de l’exposition « Miroirs de la Seine. Chez Flaubert et au-delà ».

+ La revue de presse Israël/monde arabe : avec Michel Paul à Jérusalem et Alexandre Buccianti au Caire.
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