Fuite des cerveaux: quand les médecins partent à l’étranger
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La Tunisie perd actuellement entre 700 et 800 médecins par an, qui décident d’aller travailler à l’étranger. Alors que le pays a été durement touché par la pandémie de Covid-19, cet exode des médecins a pesé lourd dans la crise sanitaire cet été, alors que le système de santé était débordé.
Cette problématique s’observe dans d’autres pays pour des raisons sécuritaires et/ou économiques. Le Liban, la Syrie, Haïti, la Guinée, Madagascar… Comment encourager les médecins à exercer dans leurs pays d’origine ? Quelles conséquences cette fuite des cerveaux a-t-elle pour la qualité des soins dans les pays concernés ?
- Dr Salem Ould Zein, président du Syndicat national des praticiens à diplôme hors Union européenne (SNPadhue), médecin réanimateur au Centre hospitalier général de Châlons-en-Champagne
- Pr Mohamed Cissé, chef du service du Service Dermatologie MST du CHU de Donka en Guinée. Vice-président de la SODAF (la société de dermatologie d’Afrique Francophone).Doyen de la Faculté des Sciences et Techniques de la Santé à Conakry, en Guinée
- Dr Asmaou Diallo, interne au Service des Explorations fonctionnelles neuro-sensorielles au Centre hospitalier de Gonesse dans le Val-d’Oise, en région parisienne
- Dr Myriam Fatmi, médecin généraliste et sexologue à Tunis en Tunisie.
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