Journée internationale contre les mutilations génitales féminines
Publié le :
À l’occasion de cette journée du 6 février, décrétée Journée internationale de tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines, lors de l’Assemblée générale des Nations unies de 2012, nous faisons le point sur ces pratiques qui peuvent entraîner de très graves complications pour la santé et même provoquer la mort.

Selon l’OMS, plus de 200 millions de jeunes filles et de femmes ont été victimes de mutilations génitales. L’excision consiste à enlever avec un appareil tranchant le clitoris, les petites lèvres, et parfois les grandes lèvres.
-
Dominique Louboutin, sage-femme à l’Hôpital Armand Trousseau à Paris. Depuis 2007, cet hôpital propose une consultation dédiée aux femmes victimes de mutilations sexuelles
- Sadio Diabira, vice-présidente du GAMS et co-porte-parole de la Fédération nationale du GAMS (Groupe pour l'abolition des mutilations sexuelles féminines, des mariages forcés et autres pratiques traditionnelles néfastes à la santé des femmes et des enfants)
-
Aoua Bocar Ly-Tall, chercheure associée à l’Institut d’études des Femmes à l’Université d’Ottawa au Canada, sociologue, experte en Genre et en matière de MGF-excision, consultante et conférencière internationale. Auteure de plusieurs ouvrages dont La pratique des mutilations génitales féminines valeur culturelle ou répression sexuelle ?, publié aux Éditions l’Harmattan.
NewsletterRecevez toute l'actualité internationale directement dans votre boite mail
Je m'abonne