Reportage France

En Martinique et en Guadeloupe, la filière banane peine à recruter

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Sur ces deux îles des Antilles, la filière banane s’est tournée ces dernières années vers une culture plus durable. Celle-ci demande plus de travail manuel, et donc de la main d’œuvre agricole supplémentaire. Daniel Nouvet possède une petite exploitation de bananes durables en Martinique, où la majorité du travail se fait manuellement. Faute de pouvoir recruter, il a failli mettre la clé sous la porte. N’ayant pas pu trouver d’employés martiniquais, il a eu recours à la main d’œuvre étrangère. Aujourd’hui, cette filière pourrait embaucher entre 500 et 600 salariés. 

Un champ de bananes en Guadeloupe.
Un champ de bananes en Guadeloupe. © Altin Lazaj / RFI
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