Denis Grozdanovitch livre avec «La vie rêvée du joueur d’échecs», publié aux éditions Grasset, un récit éclairé à travers une galerie de portraits sur la passion du jeu d'échecs.

Au début, ils sont sages et bien alignés, face à face et sur deux rangs. Au milieu, le roi et sa dame, accompagnés de leurs fous et de quelques cavaliers au milieu des tours. Ils sont en ordre de bataille. Et soudain, ils s’animent. La partie commence. À la fin, la victoire est brillante et l’échec est mat. Jolie formule de Coluche, qui croise dans ce livre Nabokov et Kasparov, Lewis Caroll et Mikhaïl Tal, Stephan Zweig et Judit Polgar.
Un essai littéraire passionné, érudit et plein d’humour, qui, loin de nous enfermer dans les 64 cases du plateau, nous invite à arpenter le grand échiquier de la vie. Après avoir disséqué la désinvolture et la bêtise ; arpenté le monde des songes, les terres d’émotions et autres extases minuscules ; après avoir raconté les nageurs, les marionnettes et les dandys, Denis Grozdanovitch nous dévoile «La vie rêvée du joueur d’échecs» publié aux éditions Grasset.
Reportage : Judit Polgar a en partie inspiré l’héroïne de la mini-série américaine «Le Jeu de la Dame», qui a fait un tabac l’automne dernier sur Netflix. Une série qui a entraîné quelques vocations et qui a peut-être permis l’éclosion d’un futur cador. Amélie Beaucour est allée à la rencontre d'Andreea Navrotescu, six fois championne de France chez les jeunes.
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