Lorsqu’elle a su qu’elle était atteinte de sclérose en plaques, la réalisatrice Marine Barnérias est partie neuf mois à l’autre bout du monde entre la Nouvelle Zélande, la Birmanie et la Mongolie. Une aventure pour apprendre à cohabiter avec sa maladie, nommée « Rosy ».
C’est un film bouleversant et plein d’espoir en même temps. Un film lumineux, comme sa principale protagoniste qui en est aussi la réalisatrice. Un voyage initiatique de 9 mois dans trois pays, la Nouvelle-Zélande, la Birmanie et la Mongolie pour ressentir son corps et l’unir à son esprit.
Un voyage comme une urgence, et une réponse étonnante à celle qu’elle a surnommé « Rosy ». Rosy, c’est le nom que cette étudiante de 21 ans a donné à sa SEP, sa sclérose en plaque, cette maladie auto-immune incurable qu’on lui a diagnostiqué à l’âge de 21 ans.
De ce voyage, de cette aventure physique et métaphysique, Marine Barnérias a fait un livre, et aujourd’hui un film.
« Rosy » est sorti sur les écrans français depuis mercredi.
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