Chroniqueuse judiciaire au Monde, Pascale Robert-Diard publie avec « La petite menteuse », un premier roman-plaidoirie de haute volée. Un livre qui pose la question du mensonge et de ses conséquences.

Depuis une vingtaine d’années, Pascale Robert-Diard raconte les plus grands procès aux lecteurs du journal Le Monde, nous fait entrer dans le petit théâtre des prétoires, brosse le portrait des avocats les plus brillants et des accusés les plus célèbres, partage avec ses lecteurs la flamme des plus grandes plaidoiries.
Sa très belle plume, elle la met aujourd’hui au service d’un roman qui pose bien des questions. Sur le jeu parfois piégeux des apparences, sur le rapport que notre société entretient avec la figure et la parole de la victime. Mais aussi sur le mensonge et la vérité, et donc sur ce que l’on appelle la fameuse « vérité judiciaire » ; sur les apories et l’évolution du féminisme à l’ère post #MeToo.
« La petite menteuse », le 1er roman de Pascale Robert-Diard est publié aux éditions de l’Iconoclaste.
Reportage : Gabrielle Maréchaux s'est intéressée à Pannir Selvam, condamné pour 50 g d’héroïne et incarcéré dans le couloir de la mort à Singapour. Cet homme a trouvé un moyen unique de raconter au monde l’angoisse de l’attente et l’espoir meurtri d’une seconde chance, grâce aux chansons de rap qu’il écrit, et qui sont ensuite interprétées par des artistes connus dans la région.
Crédits musicaux du reportage :
- Pintu Besi, mise en musique et interprétation de Kidd Santhe, Datuk DJ Dave et Prince Jon, paroles de Pannir Selvam : https://www.youtube.com/watch?v=GgimkOOudiY
- Arah Tuju, mise en musique et interprétation de Santesh, paroles de Pannir Selvam :https://www.youtube.com/watch?v=PaoJpBm49HQ
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