« Testament » de Denys Arcand, et le wokisme bat en retraite
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Denys Arcand, cinéaste québécois multi-récompensé à Cannes, aux Oscar ou bien encore aux César, continue avec « Testament », d'être un formidable observateur de son temps. Un chroniqueur social qui filme dans son 15ème film à hauteur d'homme en maniant avec humour et autodérision les aspérités générationnelles de notre époque.
Cela fait 50 ans qu’il partage sur les écrans son regard acéré et ironique sur les petits travers et les grandes névroses du monde occidental contemporain en général, et de son pays le Canada, et de sa province le Québec en particulier. Depuis qu’il tourne des films, il sait appuyer là où ça fait mal : le capitalisme, le patriarcat, le nationalisme, les injustices sociales, la corruption, l’incurie des responsables politiques, les carences du système de santé. Rien ou presque n’a échappé à ses documentaires ou à ses fictions, souvent des comédies sociales teintées par des dialogues corrosifs voire absurdes.
Le réalisateur du « Déclin de l’Empire américain », des « Invasions barbares » et de « Jésus de Montréal » vient nous présenter son 15ème long métrage de fiction qui sort mercredi prochain sur les écrans français. Le titre tient en un mot : « Testament ».
Denys Arcand est l'invité de VMDN.
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Reportage : Fabien Essiane a rencontré Sylvie Mavoungou Bayonne, directrice et fondatrice du Festival « Soul power Kongo ». Un festival de musique autour de la rumba congolaise qui se tient à Brazzaville jusqu’au 19 novembre 2023.
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