Débat du jour

Les jeunes sont-ils les victimes collatérales du Coronavirus ?

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Alors que  2/3 des français sont soumis au couvre-feu afin de limiter la propagation du coronavirus, qu'il se dit qu’un reconfinement ne serait plus tabou pour le gouvernement et que le directeur des hôpitaux de paris, Martin Hirsch, dit craindre  « une seconde vague peut être pire que la première », les étudiants tentent malgré tout de profiter des vacances scolaires de la Toussaint.

L'université de Tolbiac, à Paris, en mars 2020 (Photo d'illustration).
L'université de Tolbiac, à Paris, en mars 2020 (Photo d'illustration). STEPHANE DE SAKUTIN / AFP
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Ils ont une vingtaine d’années et comme nous tous, ils ne savent pas de quoi l’avenir sera fait. Comment ces jeunes à l’aube de leur vie adulte, qui devaient y entrer avec joie et insouciance, avec confiance et ambition, vivent ils cette crise du Covid-19 ?Sans soirée, sans flirt, avec une scolarité perturbée et avec un premier travail incertain, ne sont ils pas les victimes collatérales du coronavirus ?

Pour en débattre :
- Béatrice Viannay-Galvani, déléguée Générale de l'Association 100 000 Entrepreneurs
- Helno Eyriey, vice-président de l’UNEF 
- Anne Lambert, sociologue, chercheuse à l'Institut national d'études démographiques (Ined), responsable de l'enquête nationale Coconel-Logement et conditions de vie
 

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