Comment les JO transforment les villes pour le meilleur et pour le pire

Tokyo, Rio de Janeiro, Athènes, Séoul, Londres, Montréal… Toutes ces villes ont au moins un point commun, celui d’avoir organisé les Jeux Olympiques. Et ce sera de nouveau le cas pour Paris à l’été 2024.

Vue générale de la construction du site de transport des Jeux Olympiques et Paralympiques à la gare Porte Maillot, à Paris, le 13 février 2023. © ANNE-CHRISTINE POUJOULAT/AFP

Avec 329 épreuves olympiques, 549 prévus pour les jeux Paralympiques, près de 11 000 athlètes et 7 millions de spectateurs attendus, le défi est de taille pour Paris. Si certaines infrastructures existent déjà, certaines villes ont dû construire intégralement certains équipements sportifs voire des quartiers entiers. Transports publics, routes, logements, stades,… la ville doit s’adapter et financer pour briller et répondre aux exigences d’un tel évènement mondial. Certaines sont même allées jusqu’à la démesure au point de construire des infrastructures aujourd’hui à l’abandon. Entre les enjeux climatiques, les attentes des populations, l’organisation des Jeux Olympiques fait-elle encore rêver les villes ? À quel point les JO transforment-ils l’aménagement des villes ?  

Émission à l’occasion de la journée spéciale de l’olympisme sur RFI.

Avec : 

- Alexandre Faure, chercheur en Études urbaines à l’EHESS, École des Hautes Études en Sciences Sociales.

Un entretien avec Nicolas Rocca, correspondant de RFI à Séoul. La capitale sud-coréenne a accueilli les Jeux Olympiques d’été en 1988. 

Et un autre avec Sarah Cozzolino, correspondante de RFI au Brésil à Rio, qui a accueilli les JO d’été en 2016, les premiers en Amérique du Sud. 

Et en fin d’émission : l’Afrique qui gagne de Fatou Diouck, volleyeuse professionnelle. Un portrait réalisé par Divine Bertout.  

Programmation musicale :

► Mpassi Zi Bua - Fredy Massamba  

► Pourquoi faire aujourd'hui (Remix) - Poirier, Lisa LeBlanc.