La qualité de l’air: un bon indicateur des politiques environnementales
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Malgré de légères améliorations, l'air des pays européens est encore très pollué. Cette pollution a causé 417 000 morts prématurées sur l'année 2018, selon l'Agence européenne pour l'environnement, et les polluants rejetés par l'industrie coûtent sur le continent entre 280 et 430 milliards d’euros par an en dommages sur la santé et l’environnement.

L’Agence a également publié un classement des villes où l'on respire le mieux. En bas de la liste, on trouve des villes de Pologne ou de la plaine du Pô en Italie. Et tout en haut, il y a la ville d'Umeå, presque 100 000 habitants, au nord de la Suède. L’air pur d’Umeå est le résultat d’une politique environnementale très complète comme le montre ce reportage de Frédéric Faux.
L'Europe du nord est réputée, à juste titre, pour être très en avance sur les questions environnementales. Tallinn, la capitale de l'Estonie, a été désignée capitale verte de l'Union européenne en 2023. Mais voilà trop de voitures, des projets qui ne voient pas le jour… Les critiques fusent suite à cette nomination. Les explications de notre correspondante dans les pays baltes, Marielle Vitureau.
► À écouter aussi : Déchets, pollution : l’Europe en fait-elle assez pour l’environnement ?
Espaces verts, transports en commun, Vienne est censée, elle aussi, faire partie des capitales écolos, pourtant la première ville d'Autriche ne se reposerait-elle pas sur ses lauriers ? Vienne avait fait de l'environnement une priorité ces dernières années, mais les Verts ont quitté la mairie, et beaucoup se demandent si la question y a toujours la même importance. Quelques éléments de réponse avec Céline Béal.
C'est mon Europe ! Une chronique d’Alice Rouja qui nous parle aujourd’hui de l’éco-anxiété. Ce mal nouveau touche surtout des jeunes qui se sentent démunis et ressentent un niveau d’anxiété pathologique face aux conséquences sensibles des perturbations du climat et à l’incertitude pour l’avenir de la planète.
Un english breakfast sans bacon ? Un petit déjeuner anglais sans lard ? Oh my god ! Le Royaume-Uni manque déjà de chauffeurs de poids lourds et de personnel infirmier, il manque à présent de bouchers. Et le commerce de viande de porc est à son tour menacé par les conséquences du Brexit. La pénurie de main d’œuvre dans les abattoirs a contraint des éleveurs à abattre leurs cochons et à les faire incinérer... Un reportage de notre correspondante à Londres, Marie Billon.
(REDIFFUSION)
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