[Vos questions] Nigeria : un mouvement social de grande ampleur contre la vie chère
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Ce matin, les journalistes et experts de RFI répondaient à vos questions sur la surpopulation carcérale au Bénin, le Brésil qui sécurise l'ambassade argentine au Venezuela et la démission de la Première ministre au Bangladesh.

Nigeria : un mouvement social de grande ampleur contre la vie chère
De très grandes manifestations ont lieu au Nigeria pour dénoncer la mauvaise gouvernance et la vie chère dans le pays. Comment expliquer que l’ampleur du mouvement qui résonne dans le pays entier ? Ce mouvement social peut-il finir par fragiliser le président Bola Tinubu et le gouvernement en place ?
Avec Alexandra Brangeon, journaliste au service Afrique de RFI.
Bénin : Amnesty International alerte sur la surpopulation carcérale
Amnesty International a publié un rapport documentant et dénonçant la surpopulation carcérale au Bénin. Comment expliquer cette surpopulation dans les prisons béninoises ? Quelles solutions peuvent-elles être mises en place pour lutter contre ces mauvaises conditions ? Comment a réagi le gouvernement béninois à la publication de ce rapport ?
Avec Dieudonné Dagbeto, directeur exécutif d’Amnesty International Bénin.
Venezuela : le Brésil sécurise l’ambassade d’Argentine
Le Brésil a annoncé assurer la sécurité de l'ambassade d’Argentine au Venezuela où six opposants vénézuéliens se sont réfugiés. Comment expliquer cette décision alors que les relations entre les présidents brésilien et argentin sont toujours tendues ? Est-ce le signe du début d’un apaisement entre les deux pays ? L’Argentine dit ne pas reconnaître les résultats de l’élection présidentielle vénézuélienne. Quelle est la position du Brésil à ce sujet ?
Avec Adriana Brandão, cheffe adjointe du service en langue brésilienne de RFI.
Bangladesh : face à la pression des manifestants, la Première ministre démissionne
Au Bangladesh, après des semaines de manifestations sanglantes, la Première ministre, Sheikh Hasina, a démissionné. Dans la foulée, le chef de l’armée a annoncé la création d’un gouvernement intérimaire en nommant le Nobel de la paix, Muhammad Yunus, à sa tête. Comment la nomination de ce gouvernement va-t-elle s’organiser ? L’armée et Muhammad Yunus peuvent-ils s’entendre avec les demandes et revendications des manifestants ?
Avec Jérémie Codron, ancien professeur de l’Inalco, président de France-Kriti, une association œuvrant pour l’amitié et les échanges culturels franco-bengalis.
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