Il y a une semaine Elon Musk rachetait officiellement le réseau social Twitter pour 44 milliards de dollars. Une acquisition de plus pour l’homme le plus riche du monde déjà à la tête de Tesla et Space X. Par ailleurs, son influence ne s’arrête pas à la sphère économique car en utilisant son réseau d’accès à internet Starlink en Ukraine, Elon Musk assure les communications civiles et militaires du pays.

Il est même allé, via Twitter, jusqu’à proposer son « plan de paix » pour l’Ukraine, et s’est également exprimé concernant le statut de Taïwan. De la même manière l’action de la fondation de l’ancien patron de Microsoft Bill Gates peut s’assimiler à du « soft power ». Les frontières entre économie et politique sont-elles devenues de plus en plus floues ? Faut-il encadrer l’influence des nouveaux milliardaires ?
Pour en débattre :
- Jean-Baptiste Renaud, journaliste, coréalisateur du documentaire L’Afrique, les OGM et Bill Gates
- Julien Nocetti, enseignant-chercheur à l’académie militaire de Saint-Cyr, chercheur associé à l'Institut français des relations internationales (IFRI), titulaire de la chaire cybersécurité de Rennes School of Business, spécialiste des enjeux numériques et du cyberespace
- Florence G'sell, professeure de droit à l’université de Lorraine et directrice de la chaire Digital, Gouvernance et Souveraineté de Sciences-Po.

NewsletterRecevez toute l'actualité internationale directement dans votre boite mail
Je m'abonne