Décryptage

Birmanie: les conséquences de ce coup d’État

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Nouveau coup d'État en Birmanie. C'est au petit matin de ce lundi 1er février 2021 que les militaires ont arrêté la cheffe du gouvernement Aung San Suu Kyi. Cette prise du pouvoir par les soldats est le troisième coup d'État, depuis l'indépendance du pays en 1948. Ce putsch s'est fait sans effusion de sang, l'armée se contentant de bloquer les routes avec des soldats en armes et des véhicules blindés autour du Parlement. Il intervient le jour où les députés birmans issus des dernières législatives devaient entamer leur première session parlementaire.

La Première ministre birmane de facto Aung San Suu Kyi avec le commandant en chef de l'armée, le général Min Aung Hlaing, à Naypyidaw le 6 mai 2016. (photo d'illustration)
La Première ministre birmane de facto Aung San Suu Kyi avec le commandant en chef de l'armée, le général Min Aung Hlaing, à Naypyidaw le 6 mai 2016. (photo d'illustration) AP - Aung Shine Oo
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Un nouveau coup d’État qui marque un coup d'arrêt brutal pour la jeune démocratie. Quelles sont les conséquences de cette prise du pouvoir par les militaires ?

Avec notre invité Laurent Amelot, enseignant à l’Institut libre d’étude des relations internationales, spécialiste de la Birmanie, chercheur associé à l’Institut Thomas More et membre du groupe de réflexion Asie 21. 

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