Pendant plus de 50 ans, le clan Assad a fait de la Syrie un État carcéral. On pouvait se retrouver en prison pour un mot de trop, pour un homonyme, pour une jolie voiture ou une avance déclinée. Certaines de ces prisons étaient de véritables abattoirs humains où la torture était pratiquée sur les hommes, les femmes et même les enfants. Le 8 décembre 2024, le jour de la chute et de la fuite de Bachar el-Assad, Arthur Sarradin s’est rendu sur place.

Avec notre invité :
Arthur Sarradin, journaliste, auteur de «Le Nom des ombres. Sortir de l'enfer concentrationnaire syrien», éditions du Seuil.
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