En sol majeur

Vladimir Cosma, de Staline à Rabbi Jacob

Publié le :

C’est un jour parisien pour En Sol Majeur. Un jour où sonner à la porte d’un compositeur, violoniste et chef d’orchestre tel que Vladimir Cosma, c’est comme rentrer dans l’histoire de la musique. De ces musiques de films restées inoubliables, à siffler sous la douche ou dans les embout’.

«Mes mémoires, du rêve à reality», Vladimir Cosma.
«Mes mémoires, du rêve à reality», Vladimir Cosma. © Éditions Plon
Publicité

Le grand blond avec une chaussure noire, c’est lui. La boum, Rabbi Jacob & Diva, encore lui. Le bal, Le père Noël est une ordure ou Le dîner de cons toujours lui. Récompensé, césarisé, plébiscité de nombreuses fois sur les 300 partitions signées, aux côtés des plus grands (Oury, Béneix, Veber, Zidi, Mocky, Scola), on peut le dire comme ça: il y eut Michel Legrand et Claude Bolling, puis un beau jour arriva Vladimir Cosma. Qui aura quitté sa Roumanie de fer pour le pays des Fables, celles de La Fontaine. Merveilleuse histoire du patrimoine français qui s’écrit et se tisse au fil des exils. C’est toute cette histoire qui est racontée dans Mes mémoires du rêve à Reality publié c/o Plon.

Les choix musicaux de Vladimir Cosma

Vladimir Cosma Sa stii ça te mint

Vladimir Cosma Concerto de Berlin pour violon et orchestreLa 7ème Cible (Ivry Gitlis au violon.

NewsletterRecevez toute l'actualité internationale directement dans votre boite mail

Suivez toute l'actualité internationale en téléchargeant l'application RFI

Voir les autres épisodes