Grand reportage

Côte d’Ivoire : la dernière génération de griots ?

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Électrification rapide et quasi totale du pays, hausse du coût de la vie, amélioration de la mobilité, augmentation du nombre d’étudiants et de bacheliers : les changements que connaissent la Côte d’Ivoire ont un impact sur la structure traditionnelle des villes et des villages. La culture ancestrale tend à se recomposer à l’aune de ces évolutions, et certaines fonctions sociales coutumières semblent disparaître ou se modifier.

Mamadou Diarassouba, le griot de N’Goloblasso depuis plus de 50 ans.
Mamadou Diarassouba, le griot de N’Goloblasso depuis plus de 50 ans. © RFI/François Hume-Ferkatadji
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Même les langues vernaculaires des 69 ethnies du pays paraissent vulnérables devant les changements de pratiques sociales et les métamorphoses de la société. Pleureuses Bété, chanteurs traditionnels Dida ou griots-réconciliateurs en pays mandingue, nous voici à Odienné, Lakota, Daloa et Abidjan, pour sonder ces transformations.

« Côte d’Ivoire : la dernière génération de griots ? », un Grand reportage de François Hume-Ferkatadji.

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