Grand reportage

Séisme en Birmanie, un peuple entre dévastation et résilience

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La Birmanie vit depuis le séisme du 28 mars 2025 au rythme des sans-abris, des très fortes pluies, des blessés qu’il faut soigner, des disparus qu’il faut retrouver, des gens qui fuient en Thaïlande, de la pression de la junte, malgré une trêve officiellement prolongée. Le tremblement de terre de 7,7 a fait au moins 3 700 morts ; des milliers de blessés. 90 000 maisons détruites ou endommagées.

Des survivants se tiennent près d'un bâtiment effondré après un fort tremblement de terre, près de son épicentre, à Sagaing, en Birmanie, le 31 mars 2025.
Des survivants se tiennent près d'un bâtiment effondré après un fort tremblement de terre, près de son épicentre, à Sagaing, en Birmanie, le 31 mars 2025. REUTERS - Stringer
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Le drame s’ajoute à la guerre civile consécutive au coup d’État de février 2021 qui a entraîné le déplacement de plus de 3 millions et demi de personnes.

Dans les zones dévastées par le séisme et tenues par les rebelles, l’absence d’aide humanitaire laisse les Birmans livrés à eux-mêmes.

Les journalises ne sont pas les bienvenus, ont prévenu les militaires au pouvoir.

Les témoignages de la catastrophe, que vous allez entendre, sont donc rares.

Notre journaliste Esther Lebleu est parvenue à rallier Mandalay, puis Sagaing, en zone rebelle : Là où la solidarité est vitale.

«Séisme en Birmanie, entre dévastation et résilience», un Grand reportage d'Esther Lebleu.

 

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