Grand reportage

En Syrie, sur les traces de l’État islamique

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Dix ans après les attentats de Paris et Saint-Denis, les milliers de combattants étrangers partis rejoindre l’organisation État Islamique sont toujours présents sur le territoire syrien. La plupart sont retenus dans les camps et prisons du nord-est du pays. Leurs sorts est une question épineuse pour le gouvernement de transition, qui doit aussi composer avec la présence de cellules dormantes de l’organisation à travers le pays. Notre correspondante à Damas a parcouru la Syrie à la rencontre de ces djihadistes étrangers et des nostalgiques de l’organisation pour essayer de comprendre ce qui demeure du califat.

Des personnes marchent dans le camp d'al-Hol, géré par les Kurdes, qui accueille des proches de combattants présumés de l'État islamique (EI) dans le gouvernorat de Hassaké, dans le nord-est du pays, le 18 avril 2025, alors que les Forces démocratiques syriennes mènent une campagne de sécurité contre les « cellules dormantes » de l'EI dans le camp.
Des personnes marchent dans le camp d'al-Hol, géré par les Kurdes, qui accueille des proches de combattants présumés de l'État islamique (EI) dans le gouvernorat de Hassaké, dans le nord-est du pays, le 18 avril 2025, alors que les Forces démocratiques syriennes mènent une campagne de sécurité contre les « cellules dormantes » de l'EI dans le camp. AFP - DELIL SOULEIMAN
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« En Syrie, sur les traces de l’État islamique », c’est un grand reportage de Manon Chapelain.

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