À ceux qui se méfient de l'AstraZeneca, le commissaire italien en charge de l'Économie répond: «le vaccin est un privilège plus qu'un risque». Il balaie les critiques sur la gestion de l'achat des vaccins par la Commission: «la solidarité européenne, c'est la solution, pas le problème. Sans cela, on serait dans un véritable cauchemar». Son credo : il faut accélérer la vaccination, expliquer que «c'est le dernier effort» pour améliorer la situation.

►À écouter : la vaccination avec AstraZeneca reprend en Europe
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