L'amnistie adoptée avant la présidentielle sénégalaise «a été un remède et un poison»
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En mars 2024, juste avant la présidentielle, le parlement sénégalais a adopté une loi d'amnistie pour les actes criminels liés à des manifestations politiques commis entre le 1ᵉʳ février 2021 et le 25 février 2024. Mais selon un rapport publié mercredi 15 janvier 2025 par l'Université de Stanford et le think tank sénégalais Afrikajom Center, cette loi d'amnistie viole le droit international. Elle est un déni de justice et doit être annulée. Alioune Tine, le fondateur d'Afrikajom Center, est l'invité d'Afrique Midi.

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