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Retrait français du Tchad : «De nouvelles coopérations militaires peu probables dans un futur proche»

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Après la rétrocession à l'armée tchadienne de la dernière base militaire française au Tchad, une cérémonie célébrait, ce vendredi 31 janvier, ce retrait historique à Ndjamena. On apprend au même moment que des drones turcs acquis par le Tchad s’installent à Faya-Largeau. Quelles sont les nouvelles orientations stratégiques du pouvoir tchadien ? Entretien avec Charles Bouessel, analyste à l'International Crisis Group en charge de la Centrafrique et du Tchad.

(De gauche à droite) Le ministre tchadien des Affaires étrangères Abderraman Koulamallah, le Premier ministre tchadien Allamaye Halina, le président tchadien Mahamat Idriss Deby, le premier vice-président du Conseil national de transition Ali Kolotou Tchaimi et le chef d'état-major général des armées tchadiennes (CEMGA) Abakar Abdelkerim Daoud, assis lors de la cérémonie marquant la fin de la présence française au Tchad et au Sahel à la base aérienne d'Adji Kosseï, à Ndjamena, le 31 janvier 2025.
(De gauche à droite) Le ministre tchadien des Affaires étrangères Abderraman Koulamallah, le Premier ministre tchadien Allamaye Halina, le président tchadien Mahamat Idriss Deby, le premier vice-président du Conseil national de transition Ali Kolotou Tchaimi et le chef d'état-major général des armées tchadiennes (CEMGA) Abakar Abdelkerim Daoud, assis lors de la cérémonie marquant la fin de la présence française au Tchad et au Sahel à la base aérienne d'Adji Kosseï, à Ndjamena, le 31 janvier 2025. AFP - JORIS BOLOMEY
Par : Nicolas Sur
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