Avec «Filles-Pétroles», Nadia Beugré balaye les complexes et laisse la «rage» des femmes danser
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Nadia Beugré a beaucoup tourné ces dernières années en Europe. Mais dans son dernier spectacle, la chorégraphe et danseuse ivoirienne est revenue à son quartier d'origine à Abidjan. Elle est allée chercher ses interprètes surnommées La Chinoise et Gros Camion. Leur danse sonne comme une urgence pour exister, survivre. Elle se nomme coupé/décalé ou roukasskass et autres figures acrobatiques. Une danse urbaine contemporaine née dans les rues d'Abidjan. Filles-Pétroles, cette dernière création de Nadia Beugré est au programme de la Biennale de la danse du Val-de-Marne et se donne ce 24 mars au Palais de la Porte dorée à Paris.


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