Sommet de l’Otan à Bruxelles: «Les vraies lignes rouges de l'Alliance, ce sont ses frontières»
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L’invasion russe de l’Ukraine est au menu de trois sommets ce jeudi, celui du G7, de l'Union Européenne et de l'Otan, en présence du président américain Joe Biden. Cette invasion a resserré les rangs de l’Alliance atlantique, mais elle n’envisage pas une autre posture que défensive, au-delà des livraisons d’armes aux Ukrainiens, pour éviter une extension du conflit. Les chefs d'État et de gouvernement occidentaux souhaitent notamment renforcer leur soutien aux pays directement menacés par la Russie: pas seulement l’Ukraine, mais aussi la Géorgie ou la Moldavie. Comment l’Otan réagirait en cas d'escalade spectaculaire , comme un convoi d'armes occidental ou utilisation d’armes chimiques, voire des armes nucléaires tactiques. Éléments de réponse avec l’ancien Commandant suprême des forces alliées de l'Otan, le général Jean-Paul Palomeros.
