Invité international

Younes Belfellah: «Pour le Qatar, l'objectif de la Coupe du monde était plus politique que financier»

Publié le :

La Coupe du monde au Qatar aura été la plus chère de l'histoire. Le Qatar dépense sans compter, mais en comptant néanmoins quelques retombées alors que la compétition est sur le point de s'achever. Younes Belfellah, économiste, enseignant-chercheur à l’université Paris-Est-Créteil et fondateur du groupe de réflexion MedFocus fait le bilan de ce Mondial pour le pays hôte.

L'émir du Qatar, cheikh Tamim ben Hamad al-Thani (3e à droite), prononce un discours aux côtés du roi de Jordanie Abdallah II (5e à droite) et de l'ancien émir du Qatar, cheikh Hamad ben Khalifa al-Thani (4e à droite), Gianni Infantino, président de la FIFA, et le prince héritier d'Arabie saoudite Mohammed ben Salman lors de la cérémonie d'ouverture de la Coupe du monde de football 2022, le 20 novembre 2022.
L'émir du Qatar, cheikh Tamim ben Hamad al-Thani (3e à droite), prononce un discours aux côtés du roi de Jordanie Abdallah II (5e à droite) et de l'ancien émir du Qatar, cheikh Hamad ben Khalifa al-Thani (4e à droite), Gianni Infantino, président de la FIFA, et le prince héritier d'Arabie saoudite Mohammed ben Salman lors de la cérémonie d'ouverture de la Coupe du monde de football 2022, le 20 novembre 2022. © AFP / MANAN VATSYAYANA
Voir les autres épisodes