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Nabil Ayouch: «Avec "Everybody loves Touda", j'ai voulu rendre leur honneur aux cheikhates»

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Une femme peut-elle chanter la liberté et vivre comme elle l'entend dans le Maroc actuel ? Avec son nouveau film Everybody loves Touda qui sort ce mercredi en salles en France, le réalisateur franco-marocain Nabil Ayouch dresse le portrait d'une «cheikha». Une artiste qui chante la « aïta », un chant marocain traditionnel de résistance, au départ chanté par des hommes et depuis la fin du XIXe siècle par des femmes aussi adulées que, depuis peu, méprisées.

L'actrice Nisrin Erradi dans le rôle de Touda dans le film «Everybody loves Touda» du réalisateur franco-marocain Nabil Ayouch.
L'actrice Nisrin Erradi dans le rôle de Touda dans le film «Everybody loves Touda» du réalisateur franco-marocain Nabil Ayouch. © Les Films du Nouveau Monde
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Le cinéaste marocain Nabil Ayouch, réalisateur de « Haut et fort » au Festival de Cannes 2021.
Le cinéaste marocain Nabil Ayouch, réalisateur de « Haut et fort » au Festival de Cannes 2021. © Siegfried Forster / RFI

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