Le mois des fiertés au cœur d’une polémique aux États-Unis
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Chaque année, pendant ce mois de sensibilisation aux droits des LGBTQIA+, de nombreuses marques communiquent et mettent en vente des produits spécifiques, souvent aux couleurs de l’arc-en-ciel. Un procédé critiqué par les ultra-conservateurs, au point de faire reculer certaines marques.
À la veille de la parade annuelle organisée par l’association Capital pride, un ancien président du mouvement nous confie son sentiment sur ces pressions. « C’est une tentative pour nous diviser, analyse Bernie Delia, nous séparer de nos soutiens. » Les supermarchés Target, par exemple, ont retiré des produits jugés trop visibles de leurs magasins et de leur site internet. « Nous allons leur demander de renouveler leur engagement et nous ferons ce que nous pourrons pour les soutenir, promet Bernie Delia, je pense que notre priorité est très populaire, pas celle d’une petite minorité et nous n’allons pas laisser ce petit groupe dicter au reste de la population ce dont elle peut profiter. » Il précise : « dans des périodes de difficultés économiques, nous avons un peu moins de sponsors parce qu’ils regardent leurs résultats mais la plupart veulent vraiment participer. Je n’ai vu aucune hésitation. »
Donald Trump inculpé par la justice fédérale
L’ancien président américain est convoqué mardi prochain (13 juin 2023) devant le tribunal fédéral de Miami dans le cadre de l’enquête sur les documents classifiés retrouvés à son domicile après la fin de son mandat. Donald Trump l’a annoncé lui-même sur son réseau social en se présentant de nouveau comme la victime d’un complot politique.« Je suis un homme innocent, nous le prouverons une fois encore, a dit l’ex-président, ils essaient de détruire une réputation pour gagner une élection. On ne peut pas les laisser faire. » Le Washington Post voit dans cette situation une « inconfortable réalité », une inculpation inédite pour un ancien président, candidat favori pour l’investiture de son parti à la prochaine présidentielle.
Frankétienne veut retrouver le public haïtien
Après des années d’isolement dues à des pressions politiques, puis à la crise du Covid et plus récemment à l’insécurité, l’écrivain ouvre les portes de sa résidence de Delmas, en banlieue de Port-au-Prince. Une exposition-vente d’une cinquantaine d’ouvrages dont le but est également de remettre à flots Frankétienne, 87 ans, qui affirme être en difficulté financière. En voyant cette initiative, plusieurs personnalités ont pris la décision de créer un musée pour lui rendre hommage.
Le journal de la 1ère
L’exportation des piments de Martinique contrôlée de plus en plus strictement.
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